Coin du jour

Nikita : la femme « fatale »

 

Pour la présenter à ceux qui ne connaissent pas encore, Nikita, série créée par Craig Silverstein adapté du film éponyme de Luc Besson, raconte les aventures et le combat d’une superbe jeune femme, toujours fringuée avec des tenues hyper sexy, contre une agence gouvernementale ultrasecrète, mais malheureusement devenue incontrôlable, appelée « La Division ». Cette agence a l’habitude de recruter ses « membres », pour la plupart des jeunes sans aucun lien avec leur famille, leurs amis, ou même la société, dans des prisons fédérales. Ces jeunes sont entraînés à devenir des assassins redoutables. Bref, on le sait : c’est la Société du mal. Donc cette femme, interprétée par Maggie Q, a réussi à s’en échapper et elle désire maintenant démanteler cette organisation, ceci, parce que …. son ex-fiancé a été tué par cette agence (petite histoire qui n’est pas sans rappeler la situation de l’héroïne d’Alias). Et en plus, cette Division a incroyablement envie de lui faire la peau, surtout le grand méchant loup Roan, brillamment interprété par Rob Stewart (déjà vu dans Pankiller Jane).

 

 Bon jusque là, rien de réellement vraiment original, sauf peut-être la bande- son du générique : « Il y a six ans, j'ai été sortie de prison et forcée à devenir une tueuse pour une unité secrète du gouvernement, un programme clandestin, la Division, devenue hors de contrôle. Ils ont détruit mon identité et éliminé l'homme que j'aimais. Je me suis échappée et l'homme qui m'entraînait, en qui je croyais, me poursuit. Ce que la Division ne sait pas, c'est que j'ai une complice, Alex, une nouvelle recrue au passé sombre que j'ai entraînée à leur résister. Ensemble, nous allons détruire la Division mission par mission. Le dernier mot qu'ils prononceront sera mon nom... »

Ce que bien sûr le générique ne dit pas, c’est qu’en chemin elle croise Michael (Shane West, plus vraiment reconnaissable depuis La ligue des Gentlemen Extraordinaires, car il est passé de Baby Boy à Batman au grand cœur), le bras droit de Percy patron de la Divison, pour qui elle éprouve une très grande attirance (sexuelle et amoureuse).

La série a eu quelques nominations, citons au passage (ses trois seuls titres) : le People Choice Awards 2011, l’American Society of Cinématographers 2010 et l’Emmy Awards 2011. Mais elle n’a cependant pas réussi à se démarquer des autres séries, ce qui a nettement remis en cause sa production. Cependant, je dois avouer que j’apprécie énormément cette série qui renouvelle le concept de l’espion. Ce dernier n’est plus l’idiot légèrement incompétent de Chaos, la  femme trop émotive d’Alias, non, il s’agit ici de tueurs sans pitié mais comportant un important défaut : leur désir de s’attacher aux personnes qui les entoure, comme on peut le constater avec Casper, hum, pardon, Devon Sawa. Bref, le scénario est épatant, l’ambiance géniale, et les nanas sexy. Ah, et il ya l’incommensurable crétin de Birkhoff, génie de l’informatique et nostalgique de ses années en tant que « Shadow Walker », joué ici par Aaron Stanford (Pyro, dans la saga X-Men).

Bref, regardez cette série. 

 

 



01/07/2012
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour